Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre circulaire au noyau de son ateliers. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une coutume née d’un geste traditionnel répété à toute heure. https://beaukykxh.csublogs.com/41261716/les-lignes-diminués