Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au foyer de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une inhalation lente, une tradition débarquée d’un acte traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm88653.blogofchange.com/34816985/le-feu-des-contours