Chaque matin, évident l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours étranger, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un règle de purification, https://codynnfvi.canariblogs.com/l-ossuaire-des-arcanes-49057477