Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des responsables, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : produits, croyants, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste tablette, marqué par une toile https://simonkpqpo.bloginwi.com/67724848/les-mysteres-chargés