Le manoir se dressait, asservissant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au générations : une serre oubliée, cachée arrière un mur de végétation sauvage. Julien, https://raymondtitbh.blogocial.com/le-jardin-des-ombrages-statiques-69547021